- il était en attente de la décision du tribunal de Chalon sur Saône et de savoir qui fait appel.
- il prévoit une réunion avec les salariés début Septembre
l'Association Comité d'Entraide Ceric Auto
merci André
Si vous avez d'autres infos concernant les avocats, merci de nous les communiquer afin de les partager.
Vous pouvez, individuellement, contacter les avocats. Vous êtes leur client, donc vous avez droit d’être informés de l’évolution de votre dossier.
Bonjour,
RépondreSupprimerEtant incertain des choix à prendre, je sollicite le comité d'entraide pour répondre à quelques questions :
- Suite au jugement du tribunal des Prud'hommes de Chalon sur Saône, si nous faisons appel, comment Maître Rilov procédera-t'il pour assurer notre défense ?
- Risque-t'on de perdre ce que le tribunal a décidé pour chacun de nous ? Ou allons-nous gagner plus ?
- Combien de personnes seraient susceptibles de faire appel ?
Merci d'avance,
Albert PLANSON
Bonjour Albert, Le comité d'entraide ne pourra pas répondre à tes questions. Pour t'aider :
RépondreSupprimerTa 1ère question : c'est à maître Rilov qu'il faut poser la question...c'est lui l'avocat et toi, tu est son client.
2ème question : nous avons déjà posé cette question lors des réunions avec les avocats. Chaque cas est personnel, donc tu dois poser cette question à ton avocat également.
3ème question : Tu peux trouver des éléments de réponse dans les anciens articles et messages publiées sur le blog (suite aux réunions avec les avocats).
Tu comprendras que l’association ne peut et ne veut pas influencer le choix des licenciés.
Article sur Legris dans les Echos cette semaine:
RépondreSupprimerLegris mise sur les marchés internationaux après un exercice 2011 difficile
Le groupe Legris Industries, qui avait renoué avec les bénéfices en 2010 en affichant un résultat net de 3,6 millions d'euros après une perte de 107 millions en 2009, a replongé dans le rouge à hauteur de 16,4 millions en 2011, en raison de l'impact d' « éléments non récurrents ». Le groupe rennais annonce toutefois une hausse de 16,6 % de son chiffre d'affaires annuel, soit un total de 207,6 millions d'euros. Sans prendre en compte l'acquisition de la société nord-américaine Retrotech (Rochester), sa croissance aurait cependant été de seulement 3,8 %.
Racheté en février 2011, Retrotech vient renforcer la principale division de Legris Industries nommée Savoye (97,8 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2011). Elle est spécialisée dans la fabrication de systèmes automatisés pour la logistique. Ce créneau est marqué par « une concurrence exacerbée, qui pèse sur les marges », précise le groupe dans son rapport financier 2011 qui vient de paraître. Retrotech devrait redonner du tonus à cette division car « le marché nord-américain de la logistique est en pleine mutation ».
Usines clef en main
Le second métier de Legris Industries concerne l'ingénierie de la terre cuite (usines clefs en main pour la fabrication de matériaux pour la construction), qui a généré 61,2 millions d'euros de total de ventes l'an dernier. Regroupé dans la division Keller, ce secteur a beaucoup souffert il y a trois ans, obligeant Legris Industries à se séparer de ses activités hexagonales tout en se maintenant en Allemagne et en Italie. « Des projets d'usine nouvelle se font jour avec des perspectives de concrétisation en 2012 », rassure le groupe aujourd'hui composé de 1.300 salariés. Dirigé par Erwan Taton, il bénéficie d'ores et déjà de la commande d'une unité complète actuellement en phase de construction en Algérie.
Enfin, pour la division Clextral (48,6 millions d'euros de chiffre d'affaires annuel), qui conçoit des équipements de process pour l'agroalimentaire et la pâte à papier, les perspectives sont jugées très encourageantes, grâce notamment à la vente de « plusieurs lignes de couscous au Maghreb ». Une filiale vient aussi d'être créée au Brésil après celle du Vietnam.
Cette stratégie de forte mondialisation concerne tous les créneaux couverts par Legris Industries, qui réalise les deux tiers de ses ventes à l'étranger et table sur « une progression du chiffre d'affaires du groupe en 2012 ». Il mise par ailleurs sur un retour de la rentabilité à l'issue de l'exercice en cours. Dotée d'une trésorerie nette consolidée de 39 millions d'euros, l'entreprise familiale conserve d'autant plus de capacités de rebond qu'elle dispose de 59,9 millions d'euros de capitaux propres consolidés. De quoi poursuivre sa politique d'innovation pour laquelle il est prévu « des efforts importants de R & D dans chacune des divisions ».